Caméra prête. Silence sur le plateau. Et… Action !

Communication / News

Pour tout ce qui touche à la réalisation publicitaire, Jeroen Willekens (41 ans) est l’homme du moment. Père de deux enfants et soutenu par une épouse attentionnée, il jongle entre sa famille et ses tournages (souvent à l’étranger). PUB a donc parcouru quelques kilomètres de pellicule pour discuter avec lui de publicités, d’intelligence artificielle au service du cinéma et de tournages nocturnes au Pakistan. 

Comment as-tu atterri dans le monde du cinéma ?

Jeroen Willekens : « Depuis tout petit, j’ai toujours été créatif. D’abord avec le ballet, dès mes 4 ou 5 ans, puis avec le théâtre, les comédies musicales, la photographie… À 16 ans, c’était une évidence : je voulais travailler dans les coulisses. Mon école secondaire organisait une journée d’information sur les orientations d’études. Il y avait des flyers sur tout… sauf sur le cinéma. [Rires] J’ai fini par aller moi-même chercher des infos sur le RITCS (Royal Institute for Theatre, Cinema and Sound, à Bruxelles). Mes parents étaient un peu sceptiques : "Tu ne préfères pas un choix plus sûr, comme les sciences de la communication ?" "Non, je veux faire du cinéma", leur ai-je répondu. »

Et c’est là que tout a commencé ?

Jeroen : « Oui, après mes études, j’ai d’abord travaillé pendant 10 à 15 ans dans la télévision (documentaires, human interest, lifestyle...). Puis, il y a environ six ans, je suis passé à la publicité, et c’est ce que je fais encore aujourd’hui (et que je préfère). Mon expérience télévisuelle influence mon approche : j’essaie toujours de raconter mes publicités de la manière la plus authentique possible, pour que tout soit crédible et qu’on puisse s’y identifier. Au fond, ce sont des histoires humaines. »

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Article (NL) : Gabriel Avornicu
Traduction (FR) : Marine Dehossay