Publicis et Partenamut lancent une caca-mpagne pour le dépistage du cancer colorectal

Le cancer colorectal est le 2e cancer le plus fréquent chez les femmes et le 3e chez les hommes. Il touche chaque année entre 8.000 et 9.000 personnes en Belgique. Mais lorsqu’il est détecté tôt, 9 cas sur 10 peuvent être guéris. Pourtant, en Wallonie et à Bruxelles, seulement 25 % des Belges concernés prennent le temps de se faire dépister.

À l’occasion de Mars Bleu, le mois de prévention contre le cancer colorectal, Partenamut et Publicis Groupe Belgique lancent une campagne de sensibilisation innovante et décalée pour encourager le dépistage. Un message fort, qui brise les tabous en abordant un sujet souvent évité.

Une campagne osée autour d’un PQR code...

Et si la solution pour lever le tabou autour du dépistage du cancer colorectal était de faire du papier toilette un nouveau support de communication ? Le PQR code est né : un rouleau de papier toilette qui, une fois scanné, redirige vers toutes les informations pratiques sur le dépistage. Ce drôle d’objet vise aussi à créer une brèche dans le silence familial en encourageant les discussions sur ce sujet sensible.

L'humour, un langage universel pour briser le silence

S'appuyant sur l'idée que chacun a déjà "fait 💩" ses parents, la campagne invite les 18-35 ans à les "faire 💩 une dernière fois pour la bonne cause". Pour relever ce défi, deux influenceurs connus et reconnus pour leur humour, Clara Laureys (@clara_laureys) et Lucas Pelletierri (@luxleseul), sont mis à contribution pour inviter leur communauté à faire passer le message à leurs parents. Leur approche humoristique et décalée vise à toucher un public large et à susciter l'intérêt pour ce sujet sérieux.

La campagne se décline dès maintenant sur divers supports : posters dans les agences, publications sur les réseaux sociaux, et bien entendu, les rouleaux de papier toilette eux-mêmes. En mélangeant humour et prévention, Partenamut et Publicis Groupe Belgique espèrent encourager plus de Belges à prendre leur santé en main. Parce que la prévention sauve des vies.