{Interview} AMBR : petite agence, grandes idées

Communication / News

Lors d’une interview exclusive pour PUB, entre les murs de l’agence AMBR, nous avons rencontré Arnold Van Nuvel, Thomas de Crombrugghe et Elina Meunier, avec notre nouvelle stagiaire Wami-Ly Alomba (c'était sa première interview !).

AMBR est une agence de communication digitale créative à Bruxelles spécialisée dans la création de contenus, la conception publicitaire, le digital design, l'identité graphique, la vidéo et le motion design. 

PUB : Qui a créé Ambr ? Quelles étaient vos ambitions ?

Arnold : « Nous avons créé l'entreprise à quatre, dont moi et puis l’équipe a pas mal changé. Nous avions tous des expériences dans de grosses boîtes et nous voulions être plus libres sur ce qu’on créait. Thomas nous a rejoint 1 an après la création et Elina, il y a maintenant 2 ans. Ensemble, on a « repris le truc » et changé un peu la direction afin qu’elle soit plus précise. Pour le reste des fondateurs, on a tous pris des directions différentes. »

PUB : D’où vient le nom AMBR ? Est-ce que ça n’a pas posé problème après la séparation de garder ce nom ?

Arnold : « Ce sont les 4 premières lettres des prénoms des quatre premiers fondateurs. Et ça n'a pas du tout posé problème de garder ce nom. Elina et Thomas étaient là quasiment depuis le début aussi. Aujourd'hui, on s’établit plus en tant qu’AMBR, on sait qui sont les gens derrière et c’est le plus important. »

PUB : Vous avez tous fait votre formation au CAD ?

Arnold : « Oui, je suis sorti du CAD il y a 5 ans, Thomas 1 an après et Elina 3 ans après. Nous avons tous la même formation avec quelques années d’écart. Une formation de « digital designer » qui regroupe pas mal de choses dont l'interface web, du graphisme pur, de l’identité visuelle, du motion design… C’est tout un noyau. Nous n'avons pas vraiment de rôle particulier, c’est ça l’avantage. En fonction du projet, du client, on construit l’équipe et on distribue les taches à chacun en fonction des affinités, du client aussi. Donc parfois l’un sera plus motion, l’autre plus graphic designer, etc. La symbiose est parfaite, on sait très exactement comment on fonctionne et c’est très difficile de rajouter des gens dans ce genre de système. Aujourd'hui, nous sommes trois et c'est parfait comme ça. »

PUB : Qui sont vos clients ?

Arnold : « Nous avons bossé avec la Commission Européenne, avec Veepee, avec la TEC, avec Recupel, etc. Des clients avec lesquels nous avons toujours contacts. En ce moment, nous travaillons avec Levis, avec Magic Memories. Nous avons aussi pas mal de clients locaux, à Bruxelles. C’est cool de travailler avec des groupes à l’international mais c’est complètement différent de travailler sur des projets plus locaux avec qui nous avons un contact plus direct avec la personne. Finalement, il n'y a pas vraiment de règles, c’est plus en fonction du projet, en fonction de ce que nous proposons, en fonction de ce qui nous plait. »

PUB : Est-ce que vous êtes en coworking ou les bureaux vous appartiennent ?

Arnold : « Tout les bureaux sont à nous. Nous avons une pièce où nous bossons. En bas, la cuisine, les toilettes et on a une grande pièce qui sert de studio photos et de divertissement (on va dire ça comme ça). Nous sommes sur deux étages, mais ce n'est pas un espace de coworking. On a aussi parfois des gens avec qui nous collaborons et qui viennent s'installer dans nos bureaux pendant un certain temps. »

PUB : Vos débuts ont-ils été compliqués ? Aviez-vous déjà une clientèle ?

Arnold : « Lorsque nous avons commencé, nous avions déjà les contacts des gens avec qui nous avions déjà travaillé. On nous a directement donné du boulot et puis des petites missions qui se sont transformées en plus grosses missions. Nous n'avons jamais eu de commercial ou quelqu’un qui prospecte, ce qui est vraiment un luxe. »

PUB : Quels sont vont projets, vos objectifs à atteindre pour 2022 ?

Elina : « Continuer à travailler et évoluer dans ce que l’on fait. Continuer à travailler dans des choses que l’on apprécie, à apprendre, à rester à jour. Par exemple, on a commencé à mettre les mains dans les vidéos 360 VR et d’autres nouveaux projets qui sortent de la routine et c’est toujours intéressant. Nous sommes ouverts dans la recherche et au développement. Nous allons aussi continuer à faire en sorte de bien fonctionner à trois. »