BART ET FLORIAN DECOSTER: “L'ASTUCE CONSISTE À ÊTRE QUELQUE PEU ANTICONFORMISTE”

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L'économie, la créativité et les médias sont les pierres angulaires de la carrière de Bart Decoster, CEO d'Ads & Data. Son fils Florian Decoster est concept creative chez Happiness et suit les traces de son père plus que les deux ne l'auraient imaginé.

Quel est votre parcours professionnel ?

Bart: “Je travaille dans les médias depuis plus de 30 ans. J'ai commencé chez BBDO, puis chez Publicis. J'ai ensuite rejoint SBS en tant que directeur commercial. Et j'ai cofondé Mediahuis et Ads & Data, dont je suis le CEO depuis 2021. Tout change dans les médias, des chiffres au contexte en passant par les entreprises. Par conséquent, mon travail est lui aussi en constante évolution. C'est ce qui le rend fascinant.”

Florian: “Mon CV est beaucoup plus court. Au lycée, j'ai étudié le cinéma et j'ai poursuivi mes études à la KASK. Après un an, j'ai changé d'orientation et choisi le journalisme. Une fois ce diplôme en poche, ma faim n'était pas encore satisfaite et j'ai suivi une formation complémentaire à la Belgian Ad School. J'ai fait des stages chez NRJ et DDB et depuis deux ans et demi, je travaille comme concept creative chez Happiness."

Est-ce que vous et votre femme avez déjà poussé votre fils dans une direction particulière, Bart ?

Bart: “J'ai toujours veillé à ce qu'il n'y ait pas de conflit de générations. En tant que parent, si vous poussez trop votre enfant vers la gauche, il ira sans aucun doute vers la droite. Ma femme et moi avons toujours encouragé nos enfants à suivre leurs passions et à choisir leur propre voie. Le fait que Florian se soit retrouvé dans la publicité en passant par le journalisme a été une surprise, mais j'ai senti qu'il trouvait cela très intéressant.”

Florian: “Mes parents ne m'ont jamais poussé à me lancer dans la publicité ou les médias. En fait, ils me l'ont souvent déconseillé. Lorsque j'ai abandonné mes études de cinéma et choisi le journalisme, ils n'étaient pas très enthousiastes. Mon père m'a fait parler à Liesbet Van Impe avant que je ne commence les cours et elle me l'a également déconseillé. Mais mon intérêt était titillé et je me suis lancé. Par la suite, lorsque j'ai voulu aller à la BAS, j'ai reçu le soutien de la maison. Ce n'est peut-être pas évident, mais c'est un secteur très amusant et sexy.”

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Article (NL) : Wim De Mont et Fien Van Liedekerke
Traduction (FR) : Marine Dehossay