Brice Le Blévennec met le cap sur 2051

Communication / News

En août 2013, la cover de Pub arborait un Brice tout sourire avec ce titre malicieux «  Emakina c’est moi » .  Toujours tout sourire, notre homme célèbre aujourd’hui les 30 ans d’Ex-Machina, agence qu’il a créée en 1991 et les 20 ans d’Emakina, sa prolongation devenue adulte et qui désormais bat pavillon américain, EPAM en étant l’actionnaire. Pour Brice Le Blévennec, Chief Visionnary Officer, signer un livre est une première. Même s’il reconnaît avoir commencé des morceaux de romans...jamais achevés. Visions d’un monde meilleur est une œuvre de science et fiction. Publié en français et en anglais, le bouquin se décline aussi en podcasts dans ces deux langues. Il pourrait aussi faire l’objet d’une série télé. Mais ça c’est une autre histoire.        

Un livre pour célébrer les 20/30 ans d’Emakina. Une fête n’aura pas été plus simple? 

Brice : Organiser une fête s’est avéré impossible vu la situation sanitaire. Beaucoup de personnes m’ont dit de raconter cette aventure. J’ai créé la boîte, je l’ai mise en bourse, fait une o.p.a... Tout le monde me poussait à écrire cette histoire incroyable. Pour moi un tel projet était synonyme du vieux nostalgique du passé qui tire sa révérence. Or moi je me fou du passé. J’ai toujours voulu regarder vers l’avant. D’où cette projection dans le futur et ce livre qui nous amène en 2051. Pourquoi 2051 ? Parce qu’il y a déjà des bouquins sur ce que sera la vie en 2050. Le thème choisi est une vision positive du futur dans laquelle nous apportons des solutions aux problèmes auxquels l’humanité est confrontée et ceci grâce aux progrès technologiques, ce qui est l’adn d’Emakina, à la démarche scientifique et à la créativité humaine.  Chaque histoire commence par une fiction, un point d’entrée facile et rigolo dans lequel on peut donner place à notre imaginaire. Les connaissances actuelles limitent notre imaginaire. 

Ce livre semble être l’œuvre d’une ribambelle de co-auteurs !? 

Brice : À la base nous pensions réaliser une œuvre collective et demander aux 1300 personnes du groupe de participer. Naturellement j’ai reçu seulement une vingtaine de réponses dans le style Black Mirror... Finalement, tout en orchestrant, j’ai signé avec la complicité de Johannie van As une des trois sections du livre : l’Orange qui fait place à l’imaginaire. Les chapitres bleu, écrit en mode investigation, reviennent à Manon Dubreuil. Et le vert - user experience  - a été réalisé par ma compagne Iva Filipovic et Sarah Claeys. 

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