Etam lance sa première collection de lingerie post-mastectomie

Communication / Crea / Marketing / News

Parce qu’Etam s'est donné pour mission d'accompagner toutes les femmes, tout au long de leurs vies dans les plus beaux moments comme dans les épreuves. Parce qu’aujourd'hui le cancer du sein touche en moyenne 1 femme sur 8 et ce au sein de toutes les générations de femmes. La marque de sous-vêtements lance yes!, sa première collection de lingerie post-mastectomie, inscrite dans le programme engagé WeCare.

YES! c'est le nom de cette nouvelle collection de lingerie post-mastectomie, mais c’est aussi un grand cri du coeur à l’état d’esprit positif et joyeux. C’est un grand oui, d'affirmation de soi. Les 7 muses de la campagne se sont prétées à l'exercice de l'interview : leur histoire, leur rapport à la lingerie, à la féminité après une opération, 7 parcours et 7 déclarations uniques et positives.

« Avec la maladie, j’ai compris que c’était important de se sentir femme et de se sentir belle pour soi et non plus pour les autres... Ce n’est pas parce que on n’a plus de cheveux, qu’on n’est pas maquillée et qu’on a un sein en moins, qu’on n’est pas jolie... La beauté physique, c’est très subjectif. Aussi, il faut casser les codes. On n’a pas à être belle : on doit se sentir belle. Il faut arrêter de vouloir tous ressembler à la même chose ! Je pense que c’est important de s’affirmer, de croire en nous, » déclare Carole, 26 ans.

« ...de continuer mes activités, mon travail, mes loisirs... Et toujours avec le sourire ! On apprend à découvrir son corps, à s’assumer. C’est un travail très personnel mais l’entourage compte énormément aussi ! J’ai été pas mal rassurée que ce soit par mon copain ou par ma famille et mes amis... Aujourd’hui, je me sens "nature" car sans prothèses. Il n’y a rien de "faux" et je me sens  très bien comme ça...  Je pense que je suis plus féminine qu’avant.  Avant, je n’avais que ce côté "sportive"… Donc, je ne me prenais pas trop la tête, c’était  pantalon-baskets... Et, aujourd’hui, le fait de ne plus avoir de poitrine, je n’hésite plus : je mets des grands décolletés... Par rapport à la féminité, je pense qu’il faut oser. On est en 2020 et je pense qu’on peut tout essayer ! » commente Anais, 24 ans.