La boîte aux lettres de Post Buzz a de grandes ambitions

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Post Buzz vient de lancer une boîte aux lettres numérique, un accès à une "plateforme de quartier" flambant neuve. L'initiative prend un bon départ puisque Anvers, Gand et Anvers veulent déjà utiliser Postbuzz pour les infos de quartier hyper locales, comme les travaux de voirie à venir, les messages de prévention ou les événements de voisinage.
Comment ça marche? Les villes payent proportionnellement à leur nombre de leur habitants, c'est-à-dire 30.000 euro pour Anvers, 20.000 à Gand et 9.000 pour Hasselt. La seconde forme de revenus est, elle, bien plus commerciale. "Les commerçants, tout comme les associations locales, peuvent poster des messages gratuits dans un rayon de deux kilomètres. Au-delà de ce rayon et en ce qui concerne les plus grandes enseignes, il existe des modules de diffusion très ciblée, par exemple vers les 'revenus supérieurs' d'un quartier en particulier," explique Geert Van Boven, avec Koen Hoebeek fondateur de Postbuzz et l'un des huit actionnaires de la start-up.
Postbuzz conserve les contacts des grands comptes dans ses propres mains. A terme, Geert Van Boven ne veut signer de collaboration avec une régie parce que Postbuzz a de grandes ambitions: après la Flandre, viendront les Pays-bas, plus une version anglaise et même une version belge francophone début 2016. En mars 2016, Postbuzz lèvera 2 millions d'euros: "Nous misons sur un capital à risques, mais aussi sur un contrat avec des partenaires locaux à titre complémentaire," explique Nick Decrock, ceo de Postbuzz, également actif chez Nocus et Kaai16.