La solidarité c'est L'Avenir

L Avenir

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lavenir1Il y a tout juste un an, le quotidien belge francophone L’Avenir était englobé (avec Proximag, NRJ et Nostalgie) dans une enquête sociétale réalisée par les agences Wide (Bruxelles) et Listen (Liège). Il s’agissait d’un sondage réalisé sur 2500 belges francophones âgés de 16 à 65 ans. L’étude a conclu que le lectorat de L’Avenir – même occasionnel– place très nettement dans ses priorités une valeur en particulier : la solidarité. « Dans leur vie privé ou professionnelle, nos lecteurs demandent plus de solidarité pour une société idéale », explique Benoît Rosier. Pour discuter de la nouvelle campagne de communication lancée aujourd’hui par le journal, PUB a rencontré le Directeur marketing & ventes du quotidien historique qui ajoute : « l’étude montre clairement que l’envie de rebondir et de renouveau est fort présente chez nos lecteurs. »

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Un nouvel élan

««Partager c’est inné» : L’Avenir transmet un message clair à tous, celui d’un média empreint de solidarité, de proximité et de crédibilité. » Peut-on lire dans un communiqué de presse. « L’Avenir partage plus que l’info », le message prend tout son sens quand l’on connaît les résultats de l’étude menée par Wide et Listen. En effet, la solidarité très présente dans le profil des lecteurs l’est aussi au sein même du contenu du journal (beaucoup de dossiers, articles sur des initiatives en lien avec la solidarité). « On avait en nous ces valeurs nous ne les avions jamais exprimées, il était temps ». Sur ce, L’Avenir a rebondi et – sans changer le fond – donné une seconde chance à sa forme.

Dépoussiérer

Par cette nouvelle campagne, L‘Avenir entend montrer au lecteur qu’il partage avec lui les valeurs de solidarité, crédibilité et de proximité. Mais Benoît Rosier ajoute que la communication se dirige aussi vers les non-lecteurs, afin que ceux-ci se retirent de la tête l’image désuète qu’ils ont encore de L’Avenir. « On nous met dans le même sac que la DH et Sudpresse. Bien que très accessible et régional L’Avenir est un journal qualitatif. Il est par exemple accessible aux adolescents. Notre promesse « L’Avenir est au contenu » reste d’ailleurs d’actualité. Mais ça n’a rien à voir avec le nivellement par le bas de Sud Presse et la Dh ! Ceux-là nuisent à l’image de la presse régionale » déplore Benoît Rosier.

Miser sur le numérique

L’Avenir donne donc un nouvel élan à sa communication sans changer le fond, en misant au contraire sur sa stabilité et sur le numérique. « Quand on voit les résultats du CIM sur les diffusions payantes print+digital. On est en deuxième place derrière Sudpresse. Le marché national baisse pour la presse écrite. Mais notre perte est faible par rapport à la baisse générale. On perd un peu plus de 1% alors que les autres titres perdent 4 à 8 %. Et pourtant notre lectorat n’est plus si vieux, notre lectorat a 41 ans en moyenne. » conclut Benoit Rosier. Sur le plan numérique, les abonnements de L’Avenir augmentent, d’où le résultat réconfortant du CIM. À cet égard, dans les prochains mois, L’Avenir dévoilera des projets digitaux encore gardés secret pour le moment... To be continued.

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