Le design thinking, innovant et versatile

Avec son nom accrocheur et ses résultats prometteurs, le design thinking séduit de plus en plus d’annonceurs. Bien plus que le dernier gimmick à la mode, il s’agit toutefois d’une discipline complexe, à la croisée de la pensée analytique et de la pensée intuitive. Cours particulier avec Gwenaël Hanquet (Minale Design Strategy), Laurent Duffiaut (Touch Agency), et Alain Fallik (Landmarks), trois créatifs convertis.

Quand on l’interroge sur le design thinking, Gwenaël Hanquet en parle avec la confiance d’un expert, et l’enthousiasme d’un passionné. Si l’approche connaît en effet un véritable effet de mode pour le moment, Gwenaël l’applique en effet depuis 20 ans.  « Plutôt qu’une formation dans la pub, j’ai fait une école de commerce, où j’ai notamment suivi u cours sur le marketing des services et des idées. On y développait notamment la dualité entre le caractère éphémère de la publicité, et la permanence des marques. Jouer sur cette opposition est la spécificité même des agences de design, et j’ai eu envie de m’y intéresser de plus près » se souvient Gwenaël. Le résultat : Minale Design Strategy, son agence ouverte en ’97, notamment responsable de la transformation de la Smap en Ethias et du positionnement de Nethys.

Le consommateur avant tout

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