L’émotion de la belgitude

Communication / News

Certaines personnes s’entendent si bien au premier regard échangé, qu’ils s’engagent ensemble, sans effort, dans une discussion à courant fluide et agitéCe fut le cas de Pierre Marcolini, chocolatier (un vrai de vrai) et Aurélie Denayer, responsable de la communication et du branding chez ProximusAvec une vue sur la place du Sablon et pour témoins, quelques macarons et du thé, ils ont parlé de la vie, du digital, du local, et de tout ça 

Pierre MarcoliniAurélie, qui es-tu ?

Aurélie Denayer: Je suis, avant tout, une maman de deux enfants, avant ma carrière professionnelle. Avec mon m ari et nos filles, nous sommes Bruxellois d’origine. J’ai un amour du chocolat très fort depuis toujours. Je travaillais d’ailleurs comme responsable « chocolat » chez Mars avant d’être chez Proximus où je suis depuis trois ans. Le chocolat a toujours fait partie de ma vie et de ma belgitude…  Je me rappelle du chocolat que faisait tourner ma grand-mère sur le feu. Et toi, qui es-tu ?  

PM :  J’ai deux enfants aussi, j’ai deux vies. J’ai eu un fils fabuleux, avec ma première femme avec qui j’ai créé l’entreprise Pierre Marcolini en 1995. Mon fils a un excellent palais ! Il m’influence parfois, il a une écoute très attentive… J’ai une autre fille aussi que je dois aller chercher à l’école après notre discussion. Mais toi, dis-moi, c’est cet amour du chocolat qui t’a amenée chez Mars ?  

AD : J’étais chercheuse en économie à l’ULB, le contenu était intéressant mais je m’y sentais seule et je gardais une attirance pour un monde plus commercial et dynamique. Je suis restée 13 ans dans cette super entreprise et ma famille était assez étonnée que je quitte un monde de féérie pour les télécom. Je ne suis pas geek du tout ! Mais, finalement -  pour rester dans les analogies alimentaires - mon parcours chez Proximus c’est comme le café. Au début quand on en boit, on le trouve amer, pas toujours facile à boire, on en découvre les subtilités petit à petit. Et j’apprécie de plus en plus de travailler chez Proximus. Je ne pensais pas d’ailleurs que l’aventure serait aussi émotionnelle qu’elle ne l’avait été chez Mars.  

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Photo : ©Luc Hilderson