LES MARQUES MÉDIATIQUES FLAMANDES DEVIENNENT VIRALES

Pour les marques de médias flamandes, les réseaux sociaux sont plutôt un mal nécessaire. Mais cela n'empêche pas nos entreprises médiatiques de faire preuve de créativité sur ces plateformes.
"Sur les réseaux sociaux également, nous partons toujours de l'ADN et du positionnement de notre marque, car nous ne voulons pas créer des attentes qui ne seront pas satisfaites par la suite," explique Ann Claeys, brand manager pour Knack chez Roularta Media Group. La marque, dont la devise est "durf twijfelen" (oser douter), souhaite invariablement mettre en lumière tous les aspects d'une question, dit-elle. "Nous pensons que tout le monde doit pouvoir s'exprimer, mais cela doit bien sûr se faire dans le respect. Sur X (l'ancien Twitter), il y a parfois des discussions sur le contenu de Knack, et nous devons donc être vigilants lorsque cela va trop loin. Dans des cas exceptionnels, lorsque des choses inacceptables sont postées, nous devons bien sûr intervenir.”
Ann Claeys et ses collègues disent étendre cette philosophie à Knack Weekend et Knack Focus, des marques qui disposent d'ailleurs de leurs propres canaux de réseaux sociaux. "Là aussi, nous voulons mettre en lumière différents points de vue : bien qu'il s'agisse de style de vie et de culture, il y a aussi du journalisme de qualité derrière. "Durf twijfelen" signifie que nous présentons également des alternatives - de cette manière, nous nous assurons qu'il ne s'agit pas toujours, par exemple, du même type d'expo. Les thèmes de Weekend et Focus sont naturellement un peu plus visuels, c'est pourquoi nous avons plus d'adeptes sur Pinterest et Instagram avec nos deux marques subsidiaires. Sur cette dernière plateforme, d'ailleurs, nous mettons en œuvre un certain style, qui est juste un peu moins visible sur, disons, Facebook."
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Article (NL) : Jeroen Verschakelen
Traduction (FR) : Marine Dehossay