En trois ans, Nanopixel est passé de 6 à 43 travailleurs. Les bureaux étaient devenus beaucoup trop petits, un déménagement s'imposait. Le résultat: des bureaux neufs à Roeselare avec des open space, une salle de cinéma et un pub irlandais. Il y a plus d'espace que nécessaire pour continuer à grandir à ce rythme.
Le bâtiment est composé de deux étages avec deux espaces de travail ouverts et une experience room, mais aussi un restaurant avec une cuisine entièrement équipée, un pub irlandais, une salle de cinéma avec une machine à popcorn et un centre de fitness avec des douches. Le bâtiment que Nanopixel a acheté se situe sur Meensesteenweg à Roulers. Il est fait pour travailler dur, mais aussi pour se détendre et montrer aux clients que la philosophie de la société se résume en « the sky is the limit ».
“Nous avons demandé à nos travailleurs quel était l'espace de travail idéal pour eux. Tout ce qu'ils ont proposé, nous l'avons mis en œuvre. Nous essayons d'être une entreprise où les gens aiment aller travailler” explique Dietrich De Blander, le CEO de Nanopixel.
“Les profils technologiques spécifiques sont rares sur le marché du travail. Comme entreprise, il faut apporter quelque chose aux travailleurs, c'est pourquoi nous voulons leur offrir un cadre de travail avec beaucoup d'avantages. Nous nous concentrons sur le développement personnel et les liens entre collègues. Faire du fitness ensemble après le travail aide beaucoup” constate Kevin Taelman, le directeur commercial de Nanopixel.
“Nous voulons non seulement offrir une bonne expérience client dans notre service, mais nous voulons également étendre cette ligne dans notre bureau. Notre salle de cinéma et notre experience room ne sont pas seulement utilisées pour se détendre, elles sont également les espaces parfaits pour montrer nos réalisations d'une manière intrigante à nos partenaires et clients” explique Kevin Taelman.
Deuxième grande phase de développement
Nanopixel se rend bien compte que Roeselare n'a pas une situation centrale pour les clients et les employés, et dispose donc de deux postes de travail à Gand et à Anvers. De plus, les travailleurs ont des heures de travail flexibles et Nanopixel est à la recherche d'un système juridique pour autoréguler les congés. “Nous pensons que chacun doit décider où, quand et comment il veut prendre congé. Nous travaillons très dur là-dessus” explique Dietrich De Blander.
Nanopixel travaille actuellement dans de nombreux secteurs, de l'aéronautique à l'automobile, du secteur financier à Colruyt. Cette croissance ne semble pas prête de s'arrêter de si tôt car Dietrich De Blander prévoit même une seconde phase de croissance majeure, étape par étape Nanopixel veut s'étendre vers l'étranger.