{Rencontre} Jean-Pierre Cremers : Ça plane pour lui !

Communication / News

Dans son magazine papier, PUB vous propose une nouvelle rubrique "Not @work" dans laquelle des professionnels du secteur parleront de tout sauf de travail ! L'occasion d'apprendre à les connaître autrement qu'en parlant boulot !

Jean-Pierre Cremers a quitté Silver & Copper pour voler de ses propres ailes. Récemment reconverti dans la consultance en marketing et communication digitales, il partage désormais son temps entre un nouveau job  et son hobby qui le fait décoller dans tous les sens du terme: l’aviation. Conversation la tête dans les nuages mais les pieds bien sur terre. 

D’où vient cette passion pour l’aviation ? 

De très loin ! Depuis que je suis gamin. Ado, j’idéalisais et je voulais en faire un métier: un pays différent tous les jours, à bord d’un cockpit plein de boutons… Mais je me suis heurté à un principe de réalité: je n’avais pas l’esprit suffisamment mathématique. Sans compter qu’une formation de ce type coute très cher… J’ai donc rangé mes rêves dans un coin de ma tête… J’ai fait du modélisme et de l’aviation télécommandée pour vivre ma passion par procuration. 

Mais la procuration a fini par déboucher sur du « vrai de vrai »… 

Nous sommes alors en 2008, j’ai quarante ans. Je me lance dans le paramoteur. Je suis une formation, et très vite, j’accroche. D’autant plus que je réalise que, pour le prix d’une petite moto, on peut avoir de quoi voler dans son garage. Il y a un aspect très immédiat qui me plait beaucoup. Je n’oublierai jamais le moment où, pour la première fois, mes pieds quittent le sol et je me dis: « Enfin, je vole ! ». Rien que d’en parler, j’ai encore des frissons… 

Et puis, on en veut toujours plus ? 

La grande frustration du paramoteur à une place vient de l’impossibilité de partager mes sensations grisantes avec mes proches. Je suis donc passé à un appareil un peu plus grand pour emmener une personne avec moi. 

Ce partage, mission accomplie ? 

J’ai pu faire voler mes enfants, mon épouse ou des amis. Donc, oui, mission accomplie. J’ai créé un petit album, pour le moment privé, avec les visages et les sourires de tous ces gens qui m’ont accompagné. Puis, j’en suis venu à l’ULM deux places, parce que le paramoteur exige des conditions météo parfaites pour voler. Et donc, vu notre climat belge, mes statistiques de vol n’étaient pas au top niveau. 

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Retrouvez la rubrique en entier dans le dernier numéro du magazine PUB ou sur Pub.be ! 

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