Selon The Future Shopper, Amazon n’a plus la cote auprès des jeunes

Une nouvelle étude internationale de Wunderman Thompson Commerce montre que les femmes se tournent vers les réseaux sociaux (37 %) tels qu'Instagram, Snapchat, Pinterest et Facebook pour trouver l'inspiration pour de futurs achats plus que les hommes (25 %). La génération Z est encore plus susceptible d'en faire de même : 49 % contre 32 % pour tous les groupes d'âge confondus.
L'enquête The Future Shopper révèle que les femmes sont plus patientes en ce qui concerne la livraison de leurs achats : 56 % d'entre elles affirment qu'elles étaient contentes d'attendre deux à trois jours pour leurs commandes, contre 52 % des hommes. Seul un quart (24 %) des femmes s'attendent à recevoir leurs colis dans les 24 heures, tandis que les hommes sont 29 %.
Denis Ghys, Chief Growth Officer chez Wunderman Thompson Belgium : « Le shopping via les réseaux sociaux devient un tour de force dans le secteur de la vente au détail moderne, et les marques comprennent que c'est un excellent moyen de séduire et d'inspirer les consommateurs, en particulier les femmes. Les gens finiront par s'attendre à ce que leurs réseaux sociaux favoris deviennent des « points de vente tout en un » réunissant l'ensemble de leurs produits et marques préférés. Que ce soit par le biais d'Instagram ou de Snapchat, l'influence des réseaux sociaux ne va faire que se renforcer. »
Lorsqu'il est question de confier le contrôle des achats à des machines, ce qu'on appelle du Commerce programmatique™, les hommes sont plus enclins que les femmes à autoriser des machines à effectuer des achats et à recommander des produits à leur place. 13 % des hommes utilisent déjà des systèmes de commande automatiques tels que Brita et Nespresso, contre 10 % des femmes, et les hommes sont également plus susceptibles de commencer à les utiliser au cours des deux années à venir.
De plus, 15 % des hommes affirment qu'ils utilisent déjà des assistants intelligents pour faire des achats, contre seulement 11 % des femmes, et plus d'un tiers d'entre eux (36 %) seraient ravis de s'y mettre dans les deux ans à venir.