VO Communication sur le champ de bataille de Waterloo

Battle of Waterloo Reenactment - copyright Philippe Debruyne

Communication / News

Battle of Waterloo Reenactment - copyright Philippe Debruyne

Nous voilà arrivés à l'apothéose de l'événement célébrant le Bicentenaire de la Bataille de Waterloo. Après avoir gagné l’appel d’offre lancé par l’asbl Bataille de Waterloo 1815, en temps que producteur délégué, VO Communication a pris les rennes de l’organisation événementielle des journées consacrées à la célébration de la dernière bataille livrée par Napoléon.
Le budget total de ce bicentenaire se situe entre 8 et 10 millions d’euros. Sur cette somme, entre 6 et 6,5 millions sont gérés par VO Communication qui s’est mis en cheville avec Verhulst Events, qui a pris en charge la constitution des packages VIP. L'agence Voice, soeur de VO, a géré pour sa part toute la communication, le sponsoring, les relations presse – plus de 350 journalistes ont été accrédités – et les réseaux sociaux, avec un traçage des engagements qui suivaient sur la billetterie en ligne de Sherpa. 75 nationalités différentes ont ainsi répertoriées parmi les acheteurs. L'agence managée par Michel Culot et Patrick Parmentier a aussi à son actif: le partenariat média - en l’occurrence avec la RTBF - la gestion des flux, la mobilité, la circulation et le parking... C'est que 200.000 personnes sont attendues sur les trois jours.
Tout commencera jeudi avec le spectacle « Inferno » adapté du roman de Victor Hugo par Luc Petit. Tandis que le vendredi et le samedi, les reconstitutions de la bataille draineront 120.000 spectateurs, 50.000 assis et 10.000 debout par jour. Au total, ce sont près de 5000 figurants, 300 chevaux et 100 canons qui croiseront le fer sur le champs de bataille. « Nous avons remis une proposition originale en prenant un risque énorme. Je peux dire que c’est une aventure extraordinaire et un enjeu magnifique pour nous en termes d’image, » s'enthousiasme Patrick Parmentier. Volet météo, notre interlocuteur se dit confiant, « si nous devons essuyer des averses, l'événement collera d'autant plus à la réalité de 1815, car la bataille s'est déroulée dans la gadoue ! »