VO fait le bilan social de la bataille de Waterloo

Les 18-19-20-21 juin derniers avait lieu les fameuses reconstitutions à l'occasion du Bicentenaire de la bataille de Waterloo. C'est VO Communication a pris les rennes de l’organisation de cet événement avec Verhulst Events. Pour sa part, l’agence Voice, soeur de VO, a entre autres géré les réseaux sociaux, avec un traçage des engagements qui suivaient sur la billetterie en ligne de Sherpa. L'heure est maintenant au bilan de cette stratégie.  C'est principalement Youtube et Facebook qui ont été les moteurs de cette action, même si Instagram ou Twitter ont aussi été utilisés. " Nous avons pu tester l'alchimie entre les deux réseaux. Nous les avons fait travailler de concert, de manière à créer toute une atmosphère," explique Patrick Parmentier, Managing Director de Voice Agency. "Une véritable communauté s'est constituée, avec un taux d'engagement élevé."  Ceci n'est naturellement pas le fruit du hasard: un calendrier éditorial strict a été établi, programmant des contenus d'origines diverses tantôt "created", tantôt "user generated", "curated" ou "recycled". Le ton de chacun des posts - texte, photo, vidéo - a, lui aussi, été étudié. On y trouve avec une jolie part d'émotionnel, quelques faits historiques, une touche fun, un peu de quotidien et une pointe de rationnel. "Un post sur 7, voire un post sur 10, rappelait où acheter un ticket. Il faut doser ce type de message, pour ne pas donner l'impression qu'on ne fait que pousser à la vente." Content et community management ont été soutenu par de la publicité payante toujours sur les réseaux. "Ceci dit, on a mesuré qu'il y avait 75 pays qui avaient été touchés par l'action Facebook, uniquement via le bouche-à-oreille de la communauté. C'est une audience qui nous aurait coûté énormément si on avait dû l'atteindre via le 'paid."
Les enseignements? "Ce qui est particulièrement intéressant, c'est que nous avons pu établir un lien direct entre nos actions et publicité sur les réseaux sociaux et la réalité mesurable, à savoir les billets vendus," indique Patrick Parmentier. "Preuve que les réseaux sociaux, s'ils sont utilisés de manière organisée et structurée, gérés de façon professionnelle, peuvent rapporter." L'agence préconise également de travailler avec de bons digital designers, "Les visuels sont la clé sur les réseaux, ils attirent, ils incitent au partage. Il faut les soigner."