ET DE TROIS… THE BARN OUVRE A IXELLES !

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Jamais deux sans trois (même quatre avec l’ouverture en novembre à Anvers), le marché couvert bio fait des émules et des petits : en novembre prochain, la capitale verra ouvrir une nouvelle enseigne, à Ixelles cette fois, Rue de la Tulipe 22. Pour The Barn, chaque nouveau marché couvert tend à rendre le bio encore plus accessible que jamais. Récemment refaite entièrement, la place Fernand Cocq et son quartier présentent de nombreux atouts : la population dense, multiculturelle et dynamique confèrent à ce “village dans la ville” un caractère particulièrement en phase avec l’esprit du Barn. Le magasin d’une surface de 1000 m² se situe à deux pas de la place et dispose de son propre parking. Le charme spontané qui se dégagera de ce marché couvert ne manquera pas d’être apprécié par un public de plus en plus en recherche de simplicité et de convivialité. 

Quentin Labrique & Julien De Brouwer.

Un projet unique derrière chaque ouverture
 
Produits bio frais et en vrac, ambiance authentique et bon enfant…  la formule « The Barn » n’a pas tardé à récolter le succès que son approche avait semé. Hors de question pour autant « d’ouvrir pour ouvrir ». Bien au contraire. L’ouverture de chaque nouveau The Barn est profondément liée au souhait d’associer à chaque nouveau projet, une collaboration étroite avec un maraîcher bio local, un agriculteur qui opère sur une superficie allant jusqu’à 5 hectares. « Pour compléter la gamme de nos fournisseurs historiques, chaque nouveau The Barn ouvert correspond à un nouveau projet maraîcher. Les volumes que nous générons permettent à chaque producteur bio local avec lequel nous travaillons, de se développer tout en restant fidèle à ses principes. De plus, cette stabilité de volumes leur évite de devoir multiplier beaucoup de petites livraisons”, explique Quentin Labrique, un des deux créateurs de The Barn. "Nous voulons nous assurer que les agriculteurs belges et bio qui cultivent sur des petites surfaces peuvent être rentables et aussi se faire une place parmi les acteurs du secteur bio.”

Au marché couvert d’Ixelles seront proposés les fruits et légumes saisonniers provenant de chez De Groentelaar, un magnifique projet maraîcher géré par Tijs et Sander dans la région du Pajottenland. Ils viendront compléter l’offre des maraîchers d'Interbio, une plateforme bio familiale avec laquelle The Barn collabore depuis ses débuts en 2017. Cette relation étroite et la confiance mutuelle qui s’y est développée ont été grandement bénéfiques aux deux projets et à leur croissance.
 
Amis de longue date, ces jeunes entrepreneurs cultivent depuis quelques années un large éventail de produits locaux et certifiés 100 % bio. Basés en périphérie de la capitale, les maraîchers ont trouvé en The Barn un partenaire durable pour écouler des produits sur Bruxelles. 

Motivation durable, confiance réciproque
 
Après Etterbeek et Saint-Gilles, la belle aventure se poursuit donc pour les créateurs de The Barn. Et aux 60 employés que comptent déjà les deux marchés bio existants, Quentin Labrique et Julien de Brouwer seront bientôt rejoints par 40 nouveaux collègues, ce qui correspond au nombre de jobs que les ouvertures d’Ixelles et Anvers engendreront. 
 
A quelques semaines des deux prochaines ouvertures, les sollicitations vont bon train et le management de The Barn espère bien avoir ses équipes au grand complet pour la prochaine ouverture. « Il reste encore à trouver les bonnes personnes pour une dizaine de jobs toujours vacants, dont des vendeurs (temps plein et temps flexible) et des Team Leaders”.
 
Une vision en six points
 
Qui dit passion et vitalité, dit aussi l’envie de ne pas se reposer sur ses lauriers, mais d’aller de l’avant. Rendre l’avenir meilleur et plus rassurant. Pour participer activement à cette vision positive du futur, The Barn a identifié six points d’action prioritaires, six axes sur lesquels ces marchés bio bruxellois se distinguent déjà, mais sur lesquels ils souhaitent aller encore plus loin :
 
  • La préservation des sols : en respectant un principe fondamental : nourrir le sol pour nourrir la plante et favoriser la vie microbienne
  • Une empreinte positive : entre autres, le vrac, le zéro-déchet, le local et la revalorisation des déchets
  • La transparence : 400 références, 400 histoires vraies, authentiques
  • La viabilité des projets : un engagement sur la durée, y compris à travers le prépaiement des maraîchers
  • L’accessibilité géographique, mobile et économique pour permettre un accessibilité physique et financière au public le plus large possible 
  • Une équipe soudée autour de l’humain et du talent