Francis Van Acker (DesignRepublic) : L'ART À TOUS LES COINS DE RUE

Si Francis Van Acker, CEO & Co-Founder de DesignRepublic, était tombé dans une marmite comme Obélix quand il était petit, ce n'est pas dans une potion magique qu'il serait tombé, mais dans une bassine d'art. Entouré dès l'enfance d'âmes artistiques, avec des visites 'obligatoires' dans les musées ici et là, la passion de ses parents ne pouvait que devenir la sienne… 

PUB : Votre hobby et votre passion sont l'art contemporain. Comment cet amour est-il né et s'est-il développé ?

Francis Van Acker : "J'ai été élevé dans l'art. Ma mère est une artiste et la plupart des membres de notre entourage venaient de ce monde. L'art faisait partie de notre quotidien. Mes parents ne nous emmenaient pas dans un parc d'attractions. Non, nous allions au musée. À la fin des années 70, début des années 80, nous avons même vécu quelque temps à Amsterdam, le Valhalla de l'art contemporain. Le Stedelijk Museum d'Amsterdam figurait alors parmi les meilleurs musées d'Europe. Mes parents m'y ont toujours attiré. Je n'en avais pas toujours envie, mais je n'avais pas le choix. Avec le temps, vous apprenez à apprécier cela, et avant que je m'en rende compte, ma chambre d'étudiant était remplie d'œuvres d'art.”

Vous êtes un grand collectioneur. Comment commence-t-on ?

"Beaucoup de visites, énormément, et de prix demandés. C'est ainsi que l'on apprend à connaître le marché et à savoir combien une œuvre vaut. J'ai maintenant une vingtaine ou une trentaine d'œuvres accrochées à mes murs, et j'en profite tous les jours. Elles sont accrochées partout : non seulement dans le salon, mais aussi dans la cuisine, le couloir, la salle de bain et la chambre à coucher. Parfois, je les accroche délibérément très bas, pour les avoir près de moi, parce que je veux qu'elles fassent partie de ma vie. Je n'ai pas l'intention de les vendre. C'est et ce sera toujours un hobby, et plus que cela : une passion."

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Article (NL) : Evy Van Ruyskensvelde
Traduction (FR) : Marine Dehossay