Avec la BD, riez de tout. Si si !

Communication / News

Le Belge ne jure que par les bandes dessinées drôles. Mais en cette époque de #metoo, ne sommes-nous pas devenus un peu trop politiquement corrects ? Lectrr, Jeroom, Ilah et Klier rient sous cape. 

Steven Degryse (Lectrr) : "Les États-Unis recourent régulièrement à la censure."

Est-il encore possible de critiquer à l'aide de bandes dessinées ? "Chez nous, tout comme dans la majeure partie de l'Europe occidentale, nous pouvons encore dire ce que nous voulons, aujourd'hui plus que jamais," estime Steven Degryse (Lectrr). "Bien sûr, une plus grande liberté d'expression va de pair avec une opposition croissante. Les gens s'expriment plus qu'auparavant, notamment depuis la montée en puissance des réseaux sociaux. Presque toutes les bandes dessinées suscitent désormais des réactions. Je participe par ailleurs au mouvement Cartooning for Peace, une initiative des Nations unies visant à promouvoir la compréhension de l'autre et le respect mutuel malgré les croyances et les cultures différentes." Mais en 2020 encore, la bande dessinée est sous pression dans certains pays où on ne s'y attend pas du tout, admet Lectrr : "C'est par exemple le cas des États-Unis, qui recourt régulièrement à la censure en raison des grandes quantités d'argent en jeu. Certains noms connus sont mis à la porte sans état d'âme à cause d'une bande dessinée mal reçue. C'est franchement problématique !"

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