Les temps sont difficiles pour les jeunes. Ces dernières semaines, de plus en plus de cris de détresse ont été entendus par le biais des médias sociaux. Une enquête de la ville de Saint-Nicolas a été menée auprès de plus de 400 élèves de 5e en école secondaire. Les enseignants indiquent également que certains élèves sont sur les rotules. Saint-Nicolas a donc voulu savoir comment cela se passe réellement avec les jeunes de la ville pendant cette période de confinement. Pas bon, selon l'étude : près d'un quart des élèves de 5e année (24,4 %) se sentent malheureux et pour les filles, ce chiffre passe même à près de 1 sur 3 (32,2 % contre 15,7 % pour les garçons). Ils se sentent seuls (18,8 %), ne peuvent pas se détendre (20,5 %) et ont l'impression de ne pas pouvoir faire face à leurs problèmes (13,2 %). Ce qui est frappant, c'est que plus de 3 fois plus de filles (33%) que de garçons (10%) indiquent qu'elles se sentent généralement toujours seules.
Afin de les encourager, la ville de Saint-Nicolas lance aujourd'hui un cycle de projets pour discuter de la santé mentale chez les jeunes. Cette initiative fait partie de Jong. Wild. Goud, le tout nouveau label de la ville de Sint-Niklaas !
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