Les régies innovent, les annonceurs en réclament

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Il fut un temps où les annonceurs pouvaient paraitre frileux. Aujourd’hui, ils sont en demande d’innovation. Comment les régies sortent-elles de leurs approchent commerciales classiques ? La réponse avec Dimitri Lemmens, Head of Content & Creativity chez FLASH (RMB), Anne Delavarenne, General Manager chez Rossel Advertising et Julie MordantSales Director chez IPM.  

FLASH chez RMB, MAAATJES chez Rossel Advertising, un « crealab» chez IPM, toutes les régies ont désormais leur cellule dédiée au déformatage. Un point relie nos trois intervenants : déformater, c’est toucher au contenu et être à l’écoute, au plus près, de l’annonceur. Il y aurait depuis un moment : une notion plus forte de collaboration entre un programme/une chaîne et la marque d’un annonceur.  

Pourquoi le déformatage ?   

Il y a d’infinies formes de déformatages. C’est un moyen de donner plus d’informations, d’une manière moins commerciale. Julie Mordant donne un aperçu assez représentatif de ce que peuvent faire les régies : « En radio, cela peut être des intégrations au sein d’émissions existantes ou la création de séquences pour un annonceur, on peut aussi adapter un habillage d’antenne et y accrocher la marque, on crée des concepts de concours, ou encore un animateur pourrait adapter son émission jusqu’à se rendre sur le terrain pour faire vivre l’action, » action souvent relayée sur tous les canaux pour élargir la couverture de la campagne. « Côté TV, on peut, en plus, jouer avec nos jingle, nos annonces programmation, nos présentatrices, les concours, on a tout de même pas mal d’options, quoi qu’il arrive… On peut aussi faire du podcast et, côté digital, ça part dans plusieurs directions. Nous aimerions intégrer des marques dans un nouveau projet de chaîne que nous lançons sur Twitch. »  

Le déformatage, c’est l’infini des possibles et l’annonceur est demandeur, comme le confirme Dimitri Lemmens : « Aujourd’hui, pour attirer l’attention d’un annonceur, il ne suffit plus simplement de présenter des parts de marché. Il faut s’approcher au plus près de ce qu’il recherche. L’annonceur est prêt à aller très loin et il est notre core business. Si on veut faire un chiffre d’affaires, on doit passer par une écoute attentive de l’annonceur. Et du coup faire du déformatage. »  

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