Que du beau papier !
Je sens que je flirte avec la provocation, puisque vous lisez ces lignes sur l’écran de votre smartphone ou laptop… Bref, chaque mois, PUB, le mensuel papier, mais que vous pouvez aussi lire en ligne, est à vos côtés avec des covers plus saisissantes les unes que les autres. J'en parle à l'aise. Un petit brief et des créatifs passionnés font le reste. Ce mois-ci l’agence DDB nous plonge dans l'obscurité pour appuyer un dossier sur le marketing de la nuit. Jugez plutôt ces nuances de noir... Et si vous cliquez sur ce mot, vous découvrirez la version numérique de cette cover. Mais je poursuis ma petite histoire. Car PUB et ses covers c’est une véritable saga. Le mois dernier, notre « Skip the cover » était le résultat de l'enthousiasme des étudiants en publicité de l'IHECS qui illustraient un sujet sur la vidéo online. Mais oui pourquoi ne pas offrir à de jeunes talents l’opportunité d’exprimer leur créativité. Leurs aînés ne s’en privent pas. Tout a commencé voici 10 ans ! Dans son numéro 14, de septembre 1997, PUB ouvrait sa cover aux créatifs. Le premier tandem a s’atteler à la tâche était issu de l’agence Quattro, qui allait fusionner quelques années plus tard avec Saatchi & Saatchi. Et au fil des années 99% des agences de pub du pays ont fait la une de PUB. Pour notre relance, la première agence à entrer dans la danse fut JWT. Et vous découvrirez bientôt qui pilotera notre une en avril prochain.
Dans un monde uber numérisé, le papier est à la fête grâce à vous. J’ai même signé un édito (version papier) qui est suivi par un tunnel publicitaire ! Ce genre de tunnel que les téléspectateurs redoutent en télévision et que par contre les lectrices de luxueux magazines féminins se réjouissent de feuilleter. Dix-huit pages de campagnes signées par des agences fières de leur ouvrage. Et fières du support qui porte leur créativité. Elles prouvent leur confiance dans le média, dans les médias ! Car cette galerie d'art b to b, je la dédie aux annonceurs qui doutent trop souvent de la pertinence des médias dits « classiques », leur préférant la magie des algorithmes. C'est oublier qu'une création publicitaire bien ficelée, intelligente, brillante… ne laisse personne indifférent. PUB ne vous laisse pas non plus indifférents et nous vous en remercions. Plongez-vous dans ces pages de ce magazine black on black. Tournez-les, touchez ce papier, ou cliquez, c'est selon votre mode de lecture… À la créativité de nos annonceurs répond la nôtre, éditoriale celle-là. Toujours heureux de partager avec vous notre passion.
