Un seul parti, plusieurs casquettes avec François De Smet

Communication / News

Une politique qui tousse, un virus qui perturbe l’économie, le moment semble « idéal » pour un politicien de montrer de quoi il est capable en période de crise. François De Smet a été élu président du parti DéFi il y a à peine quelques mois, c’est donc armé d’idées et de convictions qu’il entame ce mandat, bien décidé à changer les choses.

Un passé de philosophe mondain, de chroniqueur média et d’observateur de la vie politique, mais aussi de conseiller, directeur, membre d’associations, François De Smet est député et successeur du bouillant Olivier Maingain. L'homme se nourrit de son expérience pour développer le parti DéFi. «Tout ça me sert aujourd’hui car je peux profiter de mes anciens réseaux mais aussi parce qu’étant dans la vie politique depuis peu, ça me permet de garder ces réflexes de non-politicien que j’espère garder le plus longtemps possible. »

En ces temps perturbés, l’agenda d’un politicien se doit d’être flexible. Se rendre au parti, répondre aux mails et au téléphone, consacrer du temps à la gestion d’un mandat parlementaire ou encore, se rendre sur le terrain… « Ce qui est le plus difficile, c’est la charge mentale qui vous oblige à gérer l’urgent et le non-urgent. C’est aussi le premier job où j’ai le sentiment d’être tout le temps sur la brèche car aujourd’hui avec les réseaux sociaux, il faut constamment surveiller ce qu’on dit. Je n’avais encore jamais vécu cette sorte d’intranquillité constante. »

La suite de l'article à la page 59 du PUB03 !