Une marque sachant déformater est une marque qui se démarquera

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TV, print, radio, … Autant de médias que de formats publicitaires dits traditionnels. Mais que se passe-t-il lorsque les marques vont plus loin ? Le déformatage dépend des objectifs d’une campagne, de lcible, de la technologie, des moyens financiers … Mais c’est sans doute l’un des meilleurs moyens pour une marque de se démarquer, et de marquer les esprits, sans mauvais jeu de mots…  

Pour Thierry Jourquin, Co-Founder de Xrintelligence, il y a une véritable économie qui tourne autour de ça : “Ce qui est fondamental, c’est qu’à côté des formats traditionnels que sont la photo ou la vidéo, les nouveaux contenus immersifs, c’est-à-dire ces assets 3D qui tournent sur des moteurs de rendu (Unity ou Unreal), sont directement incorporés dans tous les browsers, grâce à la technologie WebGL (la technologie la plus récente pour afficher du contenu 3D en ligne). Il y a quelques années, lorsqu’on voulait avoir cette expérience en AR, il fallait une application. Aujourd’hui, c’est directement via un QR code ou un hyperlien. Ces formats et contenus en 3D sont donc de plus en plus utilisés. » 

Parmi les types de déformatage les plus souvent utilisés, on retrouve les événements, les partenariats et les articles natifs, pour BMW. L’Oréal, de son côté, met l’accent sur l'advocacy (la défense des intérêts) en plus des services, car il s'agirait d'un important facteur de confiance. C’est clair, 2022 sera basé sous le signe du digitalNon seulement parce que c’est dans l'air du temps, mais tout simplement parce qu’il s’agirait de l'approche marketing la plus rentable. 

Déformater pour mieux cibler  

Historiquement, et au niveau local, il a toujours été possible pour une marque de se démarquer ;) Car comment faire preuve de créativité au niveau local, quand on a du matériel qui vient de l’international, et d’engager son public ? Thierry Jourquin le confirme, le déformatage est très vertueux. L’agence média, le marketeer, et les régies se démarquent. « Je pense que c’est important d’aller plus loin que là où les experts s’arrêtent. On est dans un métier qui commence à bien s’installer, que ce soit dans les performances et les données d’une campagne, par exemple. Bientôt, ce sera suffisamment souple pour faire du déformatage digital en Belgique. » 

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Découvrez l'avis d'Ewoud Van Der HeydenMarketing Director de BMW Group Belux et de Kevin Capota, CMO L’Oréal Benelux, dans le dernier numéro du magazine PUB !