«Depuis 40 ans, Contrex se positionne comme l'eau de la femme active. Avec l'action Woman Up de Contrex, nous rendons cela très concret. Notre objectif est d'encourager les femmes à se surpasser et à se réaliser en réalisant leur projet », poursuit Fabienne Liégeois. Pour cela, Woman Up by Contrex reçoit le soutien de deux entrepreneurs expérimentés: Els Van Aerschot de la société de coaching linguistique TinC, qui s'efforce d'accompagner les femmes en tant qu'entrepreneurs et Isabella Lenarduzzi, la fondatrice de JUMP qui promeut l'égalité des genres sur le lieu de travail. Les visages de la campagne sont deux femmes entreprenantes à succès. Anne-Catherine Gerets, qui a lancé sa propre entreprise en tant que styliste d'intérieur et qui a récemment publié son premier livre d'intérieur, et Emilie Duchêne, qui a créé sa marque de bijoux Thea Jewerly il y a quelques années.
L'entrepreneuriat féminin n'est pas encore tout à fait accepté et les femmes se heurtent à plusieurs préjugés qui les empêchent de sauter le pas. En effet, près d'une femme sur deux affirme qu'il est plus difficile de faire des affaires pour les femmes que pour les hommes. Elles prétendent que les affaires ne peuvent pas être combiné avec leur vie de famille. Une femme sur trois pense que les femmes ont plus d'aversion au risque que les hommes. Une femme sur trois pensent que les femmes ne sont pas souvent pris au sérieux dans le monde professionnel. Tout ceci sont de bonnes raisons pour ne pas entreprendre en tant que femme. Ce sont les éléments les plus importants du plafond de verre pour l'entrepreneuriat féminin. Ces éléments ont été démontrés par une étude commandée par Woman Up by Contrex par l'agence de recherche indépendante iVox auprès d'un échantillon de 1000 femmes belges âgées de 20 à 55 ans représentatives de l'âge, du diplôme et de la langue. La marge d'erreur est de 3,02%.