Quand banque rime avec art

Communication / News

De sfeer op de tentoonstelling is sereen, zodat de artistieke emoties de vrije loop krijgen – wat zelden geval is in het alledaagse leven. ©Vincent Everarts

Vue de l'exposition Guggenheim Full Abstraction ©Vincent Everarts

Dans votre PUB n°9, paru en décembre dernier, nous abordons à travers plusieurs articles la place de l'art dans les banques. Par exemple, l’ING Art Center fêtant ses 30 ans avec l’exposition Guggenheim Full Abstraction, la banque ING se demande plus que jamais ce que lui (r)apporte l’art. En octobre de cette année, le groupe bancaire néerlandais a annoncé la suppression d’environ 7.000 emplois, dont 3.500 en Belgique. Dans le même temps, son Centre d’art trentenaire inaugurait une exposition prestigieuse d’envergure invitant la collection de Solomon R. Guggenheim à New York et celle de sa nièce Peggy Guggenheim à Venise. En cette période d’anniversaire et de crise des banques, la question s’est posée plus que jamais au sein d’ING : pourquoi l’art est-il nécessaire à l’entreprise ? Plus nécessaire que des emplois ?

Du côté des banques Belfius et BNP Paribas Fortis, celles-ci raffolent de leurs collections d’objets d’art. Actuellement, elles les sortent des greniers pour les exposer à la vue du grand public. Opération de communication intelligente ou coup de marketing minutieusement calculé ? « Nous remplissons un rôle.... Pour lire la suite de ces articles, c'est par ici ! 

 

Peggy Guggenheim draagt oorringen die Alexander Calder speciaal voor haar ontwierp. Jaren vijftig, Solomon R. Guggenheim Foundation, foto Archivio Cameraphoto Epoche, gift van de Cassa di Risparmio di Venezia, 2005

Peggy Guggenheim portant les boucles d'oreille créées à son intention par Alexander Calder, années 50, Solomon R. Guggenheim Foundation, photo Archivio Cameraphoto Epoche, gift from Cassa di Risparmio di Venezia, 2005

Collection BNP Paribas Fortis, salles 20 rue Royale

Jean-François Van der Borght, Les femmes de Judée offrant leurs bijoux pour construire le tabernacle (entre 1742 et 1763) - BNP Paribas Fortis

Dankzij de scenografie van de studio SNCDA worden de bezoekers niet overdonderd door allerlei theorieën. ©Vincent Everarts

©Vincent Everarts